Harcèlement féministe

 Affiche vue dans le tramway à Bordeaux pendant une semaine en octobre.

Il y aurait eu des réactions négatives  ! Evidemment  !

Dans les informations de Yahoo :   

Paris: La Brigade Anti-sexiste a reçu des encouragements et des insultes lors de son opération contre le «manspreading».

Il existe donc une « brigade anti-sexiste ». Bravo pour les insultes. J'espère bien qu'elle fera lyncher !

Paris: Vers l’interdiction du «manspreading» dans les transports franciliens ?

On ne peut évidemment pas interdire la connerie en général, ni celle en particulier des féministes harceleurs (il y aussi des "hommes" parmi ces gens, d'où le masculin). 

Après avoir vu ces affiches, j'écarte les cuisses pour inciter les femmes à écarter les leurs (voir plus bas).

Faut-il  rappeler que la bigotterie alimente l'athéisme militant, que l'antiracisme ostentatoire alimente le racisme et que le féminisme imbécile donne envie de foutre des gifles à ceux qui le propagent.

Mairie de Paris : « Tout commentaire sur le physique ou sur la tenue constitue - donc même un compliment - une atteinte à l’égalité femmes/hommes, une atteinte à la liberté de circuler et au droit à la sécurité partout dans la ville de jour comme de nuit » Sans commentaires.

J'ai titré mon message Harcèlement Féministe avant de voir la couverture du dernier numéro de l'excellent magazine CAUSEUR.

Une pétition contre le harcèlement kaporalise à prétexte féministe.

 Un livre à lire : 

L'auteur, docteur en littérature et journaliste, décrit la paranoïa qui sévit dans les universités des Etats-Unis, concrètement, la hantise de tout mot ou geste qui pourrait provoquer des poursuites judiciaires au titre de "harcèlement". Les universités ont installé des "sexual harassment officers" que l'on peut comparer aux anciens inquisiteurs et aux actuels talibans. 

Je vous laisse découvrir les détails, affligeants, qui pourraient nous faire rire de cette idiotie qui plombe l'ambiance de ces universités et s'étend à toute la société, sauf que ces idiots de français (cf. ci-dessus la Mairie de Paris et les transports à Bordeaux) adoptent à grande vitesse les idioties anglo-saxonnes. Editions Premier Parallèle, 2015, 10 euros.

Vive le "woman spreading".